La privatisation de la zone franche de Colón, la deuxième du monde, ne se fera pas. Après dix jours de mobilisation, le mouvement social panaméanest parvenu à empêcher la vente de terrains publics dans cette zone franche du nord du pays où sont implantées plus de 3′000 entreprises, pour la plupart étrangères, à l’entrée du canal de Panamá. Une semaine de grève générale dans la province de Colón et des manifestazions massives,qui ont été endeuillées par trois décès, ont amené le président de droite, Ricardo Martinelli, a finalement abrogerla loi de privatisation votée par sa majorité parlementaire. BPZ
Le Courrier